et autres courbes anciennes. À Paris - J.-Baptiste de La Chapelle (1710-1792)
Avec un petit traité de la cycloïde où l’on fait voir comment cette courbe a contribué à perfectionner les horloges à pendule.
contenant diverses remarques sur les ouvrages & les prétentions de M. R. À Paris - Pierre Le Roy (1717-1785)
M. R. est en réalité Pierre de Rivaz, inventeur suisse, qui acquit le privilège exclusif de vendre ses horloges pendant 15 ans, privilège qui allait à l’encontre des intérêts de la corporation des horlogers de Paris. Ce livre est commenté dans les Mémoires pour l’histoire des sciences & des beaux-arts de janvier 1751. Rivaz publia l’année suivante une réponse à ce mémoire.
à un mémoire publié contre ses découvertes en horlogerie. À Paris - Pierre de Rivaz (1711-1772)
Cette réponse est commentée dans les Mémoires pour l’histoire des sciences & des beaux-arts de décembre 1751.
avec un mémoire sur une montre de nouvelle construction. À Paris - Jean Jodin (1713-1761)
contenant tout ce qui est nécessaire pour bien connaître et pour régler les pendules et les montres. À Paris - Jean-André Lepaute (1720-1789)
ou calendrier pour l’année 1758. À Paris - Pierre Le Roy (1717-1785)
Cet ouvrage rare et très érudit servira de base à de nombreuses publications. On peut notamment citer les étrennes d’Antide Janvier pour l’année 1811 et Le temps de Claudius Saunier en 1858.
à l’usage de ceux qui n’ont aucune connaissance d’horlogerie. À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
Quatrième édition augmentée
dans lequel on traite de cet art relativement à l’usage civil, à l’astronomie et à la navigation. À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
des arts et des métiers. Tome VIII. Horlogerie. À Paris en 17 volumes de discours et 11 volumes de planches - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
À la suite de la Cyclopaedia d’Ephraïm Chambers, cet ouvrage marque le début de l’aventure encyclopédique française, entreprise éditoriale titanesque et sans précédent. Plus connue sous le nom de l’encyclopédie Diderot et d’Alembert, ce fut aussi un véritable succès commercial dont le tirage important, plus de 4000 exemplaires, ne suffira pas à assouvir la demande du public. C’est pourquoi la fin du XVIIIe siècle verra l’édition de plusieurs encyclopédies, toutes basées sur celle de Diderot et déclinée suivant 3 formes : des suites, des contrefaçons et des successeurs (pour plus de détails voir cette page).
Le remarquable site de l’ENCCRE permet de découvrir et d’exploiter toute les ressources de cette encyclopédie, notamment grâce au regroupement des articles par domaine (utiliser le bouton Domaines en haut de la page, le domaine Horlogerie comporte 250 articles !) et aux liens qui sont glissés sous les multiples renvois du texte original. La consultation des planches est aussi grandement facilitée par la juxtaposition du texte explicatif et la gestion automatique du changement de page.
avec les planches relative à la même montre. À Avignon - traduit de l’anglais par Esprit Pezenas (1692-1776)
dans la recherche des longitudes en mer, & des épreuves faites de leurs ouvrages. À Paris - Pierre Le Roy (1717-1785)
pour éprouver les montres marines inventées par M. Le Roy. À Paris - Jean-Dominique Cassini (1748-1845)
destinées à indiquer les équations journalières du Soleil. À Paris - Sieur Ridereau
raisonné des connaissances humaines. Tome XXIII. Horlogerie. À Yverdon en 48 volumes de texte et 10 volumes de planches - Mis en ordre par Fortunato Bartolomeo De Felice (1723-1789)
Les articles dont l’entrée est suivie par (N) sont de nouveaux articles par rapport à l’encyclopédie Diderot, les entrées suivies par (R) correspondent à des articles réécrits ou remplacés. Enfin les étoiles au sein des articles délimitent les ajouts aux articles de l’encyclopédie Diderot.
contenant la théorie, la construction, la main-d’oeuvre de ces machines et la manière de les éprouver À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
pour la détermination des longitudes en mer, par la mesure artificielle du temps. À Amsterdam - Pierre Le Roy (1717-1785)
des nouvelles machines proposées en France, pour la détermination des longitudes en mer par la mesure du temps. À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
À Leyde - Pierre Le Roy (1717-1785)
ou méthode pour déterminer les longitudes en mer, avec le secours des horloges marines. À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
un échappement naturel dans tous ses points, un quantième perpétuel. Robert Robin (1742-1799)
de roues et pignons en horlogerie. À Genève - Louis-Baptiste Preud’homme
Arts et métiers mécaniques. Tome III. Art de l’horlogerie. À Paris et à Liège
On retrouve ici en grande partie la matière de l’encyclopédie Diderot rassemblée sur 206 pages. La publication de l’encyclopédie méthodique s’étalera sur 50 ans et comportera 157 volumes de texte et 53 volumes de planches (soit 15 mètres linéaires !).
contenant une nouvelle construction de montres simples & à répétitions à roues de rencontre. À Londres - André Hessén
ou supplément au traité des horloges marines, et à l’essai sur l’horlogerie. À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
À Toulouse - Vigniaux
À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
les détails de son exécution et ses avantages. À Paris - Robert Robin (1742-1799)
À Paris - Ferdinand Berthoud (1727-1807)
Bruno Delsupexhe
Jean-Marie Moebs